Depuis 1977, Cheap Trick ne cesse de poursuivre son activité discographique avec une régularité déconcertante. Dernier album en date, ce In another world, publié 4 ans après deux albums (We’re all alright, puis Christmas Christmas en 2017).
Et l’entame est clairement un hommage aux Beatles (Here comes the Summer, et encore plus Quit making me up et ses emprunts plus qu’appuyés à With a little help from my friends). Sur le reste de l’album, c’est du pur Cheap Trick, à savoir une musique tellement simple et spontanée que la France a toujours du mal à les classer : Classic rock ? Hard rock ? Relents de heavy metal ? Non, du rock, simplement et basiquement du rock, du très bon rock, mais qui prend savamment toutes les nuances que le genre permet. Comment ne pas taper du pied sur Boys and girls & rock & roll, comment ne pas être admiratif devant les choeurs de The Final Day, comment ne pas vouloir enlacer quelqu’un sur So it goes ?
Cheap Trick s’est fait plus qu’un nom dans son pays, les Etats Unis, apparaissant régulièrement via sa musique dans des génériques (That 70s Show, c’est eux, avec leur cover du In The Street de Big Star) ou dans des publicités. Plus qu’un simple groupe de rock, Cheap Trick y est une institution, à l’instar d’un Journey.
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