Skip to content

  • Facebook
  • Instagram
  • Toggle search form

Chronique album Death Bells – Between here and everywhere (post punk)

Posted on 30 septembre 202229 septembre 2022 By MD Rock Aucun commentaire sur Chronique album Death Bells – Between here and everywhere (post punk)

L’histoire de la musique est pleine de « Et si ? ». L’un des plus importants demeure celui-ci. « Et si Ian Curtis ne s’était pas barré si jeune au concert céleste, quid de Joy Division ? ». Parce que oui, les deux albums enregistrés par le groupe de Manchester, puis ce Love will tear us apart publié après sa disparition ont changé la face du rock. Et pas qu’un peu !

Le mouvement post punk doit énormément à Joy Division. Pas qu’à Joy Division, mais beaucoup, énormément, même. 

Et Death Bells pourrait répondre, à sa façon à ce « Et si ? » . Tant ce Between here and everywhere semble reprendre le chemin là où Ian Curtis l’a quitté. Tant musicalement que vocalement, on a le sentiment que cet album est à la fois une continuation et un hommage à l’oeuvre des fondateurs du post punk. Et bien plus que les autres groupes du genre, aussi talentueux et reconnus soient-ils aujourd’hui. D’Idles à Fontaines DC en passant par bien d’autres. 

Basse en avant, voix désincarnée et profonde, minimalisme mélodique, choeurs : tout le bréviaire de Joy Div’ y passe. Pour autant Death Bells affirme une personnalité propre, différente de celle de son inspirateur. Une personnalité et une actualité frappantes sur la majorité des chansons.

Qui font que Between here and everywhere sonnera toujours plus comme un nouvel album de Death Bells que comme le troisième album rêvé, espéré secrètement par les fans de Joy Division.

Au final, il y a quelque chose d’assez fou à l’écoute de Between here and everywhere : l’impression que dans le post punk, genre froid et nihiliste, certains parviennent à toucher au sacré pour mieux le mettre en lumière. Saisissant album, d’un bout à l’autre. 

Le site du groupe c’est ici
More post punk 2022 ?

Chroniques Tags:Between here and everywhere, Death Bells, Myskeuds, post punk, rock

Navigation de l’article

Previous Post: Chronique album Haunted Horses – The worst has finally happened (indus)
Next Post: Chronique album Walt Disco – Unlearning (electro pop)

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Archives

  • septembre 2023
  • juin 2023
  • mai 2023
  • avril 2023
  • mars 2023
  • février 2023
  • janvier 2023
  • décembre 2022
  • novembre 2022
  • octobre 2022
  • septembre 2022
  • août 2022
  • juillet 2022
  • juin 2022
  • mai 2022
  • avril 2022
  • mars 2022
  • février 2022
  • janvier 2022
  • décembre 2021
  • novembre 2021
  • octobre 2021
  • septembre 2021
  • juin 2021
  • mai 2021
  • avril 2021
  • mars 2021
  • février 2021
  • janvier 2021
  • décembre 2020
  • novembre 2020
  • octobre 2020
  • septembre 2020
  • juin 2020
  • mai 2020
  • avril 2020
  • mars 2020
  • février 2020
  • janvier 2020
  • décembre 2019
  • novembre 2019
  • octobre 2019
  • septembre 2019
  • août 2019
  • juin 2019
  • mai 2019
  • avril 2019
  • mars 2019
  • février 2019
  • janvier 2019
  • décembre 2018
  • novembre 2018
  • octobre 2018

Articles récents

  • Teenage Fanclub – Nothing lasts forever (rock alternatif)
  • Jaaw – Supercluster (indus)
  • Public Image Ltd – End of world (indus)
  • Les 100 disques du patron !
  • Meursault – Meursault (folk)

Catégories

  • Chroniques
  • Divers
  • Non classé

Rechercher

Copyright © 2023 .

Powered by PressBook Dark WordPress theme