Le chanteur écossais signe avec Broken by desire to be heavenly sent un second album dans la lignée du magnifique Divinely Uninspired to a Hellish Extent, qui a déjà quatre ans, mine de rien. Un album qui avait alors cartonné dans le monde entier.
Qu’en est-il de cette suite ? La recette est la même : des chansons midtempo ou des ballades. Et un talent tout particulier quant à l’écriture, mais surtout l’interprétation. Car Lewis Capaldi a cette double faculté : il sait chanter, c’est un fait. Mais aussi et surtout, il sait communier avec son public.
Si certaines chansons rappellent la pop 90s (Forget me et ses accents Big Country), d’autres nous emmènent une nouvelle fois ailleurs. Loin de la mêlée assez insipide qu’est la pop actuelle. Wish you the best, cri d’amour et d’espoir. Burning. Là encore un cri, et une histoire qui se raconte à nous.
Divinely Uninspired to a Hellish Extent n’a qu’un seul défaut. Il s’inscrit trop dans la lignée de son prédécesseur, l’effet de surprise en moins. Il n’en recèle pas moins 12 vraies chansons. 12 actes de bravoure d’un interprète qui donne corps et chair à ses compositions. Pour en faire autant de moments privilégiés.
Le site officiel de Lewis Capaldi
Encore envie de pop ?