Disque interlope. Voilà comment résumer au mieux un disque qui tourne en boucle depuis quelques jours. Un disque sur lequel on retrouve des ambiances et gimmicks qui ne déplairaient pas à Arctic Monkeys, Chvrches, et bien d’autres !
Pastel City Lights signe sur Disco in the basement un premier album très riche ! Et ce ne sont pas les références citées plus haut qui doivent faire croire à un manque de personnalité, bien au contraire. L’artiste texan Joshua Kindla, qui est derrière ce projet a bien trop de culture musicale pour se contenter de reprendre. Ambiances pop, électro, jazzy (Clean up in aisle 4), chaque nouvelle chanson est une surprise. Jusqu’à l’ultime surprise, la dernière chanson, Last dance on Mars, single électro lo-fi, dont la production minimaliste tranche pas mal avec le reste du disque.
Pastel City Lights s’annonce comme un projet très prometteur. Qui se veut très lumineux, malgré une pochette noir et blanc annonçant potentiellement un album sombre. Non. C’est un disque bourré de petites surprises, de petites trouvailles, et de chansons aussi mélodieuses que douces.
On attend déjà la suite avec une impatience non feinte.